« Nous descendons tous d’un roi et d’un pendu » écrivait La Bruyère au XVIIème siècle, et c’est bien vrai. Si vous partez à la recherche de vos ancêtres, vous trouverez certainement de nobles personnages mais aussi d’autres moins recommandables.
La généalogie, une passion à la mode que maintenant grâce à
la numérisation, on peut faire depuis son ordinateur. Plus besoin d’aller aux
archives pour consulter les microfilms des Mormons. Tout est à portée de
clic… du moins pour nos lointains aïeux, ceux qui sont nés il y a plus de 100
ans. Pour les parents plus récents, il faut faire appel à sa mémoire ou
interroger les membres de sa famille.
Les registres d’état civil permettent de remonter
jusqu’à 1800. Pour aller au-delà, il y a heureusement les registres
paroissiaux, ces listes de baptêmes et décès tenus par les curés de paroisse.
Les plus anciens datent du XVIème siècle. Pour les siècles précédents, il faut
fouiller dans les documents du passé et les généalogies tenues par les familles
de la noblesse.
Travail ardu mais
passionnant. En construisant l’arbre familial, on préserve le souvenir de ceux
qui nous ont précédés et on a l’impression de « ressusciter »
des personnes dont plus personne ne se souvient. Si votre ascendance vous
intéresse, consultez le site www.geneanet.org
qui regroupe le travail de nombreux généalogistes (dont le mien, pseudo « piaggio »)
« Oublier ses ancêtres, c’est être un ruisseau
sans source, un arbre sans racine » (Proverbe chinois)
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